Pourquoi faire appel à Logiver?
- Logiver vous donne accès à d’excellents fonds non spéculatifs auxquels vous n’auriez pas accès en direct. Et cela à d’excellentes conditions négociées auprès des banques.
- Logiver en tant que gestionnaire indépendant contrôle la qualité de toutes les opérations de la banque.
- Logiver vous fournit un reporting détaillé de la performance et du risque que vous n’aurez pas ailleurs.
- Logiver est un investisseur expérimenté et discipliné qui évite les biais psychologiques destructeurs de performance.
Biais psychologiques destructeurs de performance.
En effet, certains épargnants investissent émotionnellement en se basant sur des articles de magazines spécialisés ou encore en lisant le journal.
Des études statistiques ont pourtant montré que les rendements de ces épargnants étaient fondamentalement mauvais. À titre d’exemple, une étude de 10 000 clients gérant eux-mêmes leur patrimoine auprès de Terrance Odean (une grande maison de courtage américaine similaire à Keytrade), a trouvé que les actions que les investisseurs ont achetées sous-performent celles qu’ils ont vendues de -3,3% dans l’année qui suit (1). La raison serait, d’après l’étude, la grande confiance qu’ont ces investisseurs dans leur capacité à gérer seuls leur patrimoine. Une étude similaire a été faite à Taïwan avec comme résultat un manque à gagner de -2,2% après le coût de transaction (2).
Biais psychologiques les plus courants :
Le marché s’est écroulé et j’aurais dû le prévoir.
Le marché est par nature imprévisible, comme l’ont montré les études universitaires. En outre, s’il était possible de le prévoir, d’autres investisseurs (dont des institutionnels qui sont mieux informés et spécifiquement formés à cette tâche) auraient agi comme vous et ce, jusqu’à ce que le prix de l’investissement atteigne un niveau qui ne permette plus de faire un bénéfice. La bourse est un « jeu » à somme nulle. Ceux qui gagnent le font sur le dos de ceux qui ont perdu. Pensez-vous pouvoir battre sur le long terme des institutionnels qui possèdent des centaines voire plus d’employés qui analysent les marchés toute la journée?
J’ai un système prouvé pour sélectionner les investissements gagnants.
De nombreux fonds, banques et universitaires ont étudié et testé statistiquement des stratégies très différentes sur des périodes couvrant des décennies. Ils ont investi dans des supercalculateurs, engagé des mathématiciens, ingénieurs et physiciens afin de répliquer le comportement des marchés. Malgré tous ces efforts, aucun n’est arrivé à obtenir un résultat pertinent. Nous le savons car aucun gestionnaire dans l’histoire boursière n’a réussi à battre systématiquement le marché.
J’ai lu que c’était un bon investissement à acheter.
Si vous l’avez lu c’est que l’information est accessible à un large public. En outre, les professionnels ont déjà eu cette information par d’autres canaux bien avant que cela ne soit publié dans la presse. Le cours de bourse aura donc déjà changé lorsque vous lirez l’information : vous n’aurez donc que très peu de chances d’avoir un gain important alors que vous prenez un risque élevé. Sur le long terme, suivre les indications de la presse est une attitude perdante.
Je savais que cet investissement allait monter.
Sauf à avoir des informations privilégiées sur lesquelles vous ne pourrez légalement pas investir, la bourse est imprévisible car elle est le résultat de la rencontre entre des milliers d’investisseurs ayant accès aux mêmes informations et qui peuvent penser différemment des autres. Dans certains cas, une majorité pensera la même chose tandis que dans d’autres, les avis seront partagés. À priori rien ne permet de savoir comment la majorité des investisseurs réagira car chaque investisseur a sa situation propre.
En outre, si vous saviez que le marché allait monter, les investisseurs professionnels également. Ils auront investi avant vous et au moment où vous achèterez, le cours aura déjà intégré la nouvelle information.
C’était une mauvaise idée, mais je ne veux pas vendre à perte.
Le passé ne doit pas guider vos choix futurs. Vous devez déterminer les options qui rapporteront le plus pour un risque similaire. Peu importe que vous soyez en perte pour un investissement. Si un autre a de meilleures perspectives, changez. Dans le cas contraire, sur l’ensemble de la période, vous aurez eu un investissement décevant dans le passé suivi d’une nouvelle période de rendement inférieur. En effet, vous aurez décidé de rester dans cet investissement du fait de votre raisonnement.
La tendance est bonne et devrait continuer à long terme.
S’il n’y a que de bonnes nouvelles, il est probablement déjà trop tard pour investir car ces bonnes nouvelles auront déjà été prises en compte dans les cours de la bourse. Vous achèterez donc à un prix trop élevé par rapport au risque que vous prenez. En réalité, il faut acheter quand tout va mal et que tout le monde est pessimiste. « Acheter au son du canon et vendre au son du clairon ».
Qui plus est, vous ne pouvez pas prédire si la tendance continuera et si c’est le cas, pour combien de temps.
Je travaille dans cette industrie, donc je dois savoir ce qu’il s’y passe.
Peu importe que l’épargnant travaille dans cette industrie. Même pour un institutionnel, les études montrent qu’il n’est pas possible de battre le marché sur le long terme. Ce n’est pas une question de connaissance. Cette industrie regorge de personnes compétentes qui ont accès à des programmes perfectionnés et ont accès pratiquement en temps réel aux informations qui sortent. Il n’y a donc guère plus que le facteur chance qui joue un rôle.
Je n’avais pas tort en achetant cet investissement, je n’ai pas eu de chance.
Cela prouve bien ce que les recherches théoriques et empiriques montrent. Même s’il existe des raisons valables d’acheter un investissement précis, rien ne garantit que c’est ce qui se passera. Cela s’appelle la variance en termes statistiques.
1 Terrance Odean, “Do Investors Trade Too Much?” American Economic Review 89:5 (Decembre 1999): 1279-1298.
2 Brad M. Barber, Yi-Tsung Lee, Yu-Jane Liu and Terrance Odean, “Who Gains From Trade? Evidence from Taiwan,” Working paper (July 2004), University of California, Davis, CA.